CALAIS
EXPOSITION RODIN - Avril 2017
LE BAISER
De Rodin à nos jours
Pours les 100 ans de la mort d'Auguste Rodin -1840,1917- le musée des Beaux-Arts de Calais a décidé de lui rendre hommage à travers des scènes contemporaines et des vidéos de films cultes.
C'est le regard différent d'artistes tel que Robert Doisneau, Marc Chagall, Ange Leccia... que l'exposition va mettre en oeuvre une exploration du baiser depuis la création du groupe sculpté par Rodin en 1882 à nos jours. Et je peux vous dire que certains me semblent certes déroutants.
L'éternel Printemps est une statue en bronze à patine noire du sculpteur français Auguste Rodin datant de 1884.
J'adore la sculpture, j'aime voir, regarder, contempler... J'aime ce qui est beau et ce qui ne l'est pas. J'ai toujours été admirative par ces artistes qui savent donner vie à une forme simple. J'ai moi-même essayé de faire de même, mais voilà, je ne suis pas artiste...
Ici, une version moderne du Baiser, intitulée "Deux crânes ou le Baiser", 2012, de Pierre Malphettes, oeuvre travaillée à partir d'un néon.
Comprenez-vous la transition ?
Personnellement, je ne peux me lasser de contempler une oeuvre, une statue, un sujet qui se distingue par une coupe précise. La subjectivité de discerner différemment, parfois avec humour et décadence, que le baiser n'a pas de limite de péremption, reste inégalable, bien évidement !
LA DIGUE DE CALAIS
Calais est une station balnéaire où, depuis plusieurs années, j'aime m'y balader. En fait, je prend le train, et arrivée à la gare, je me voue à marcher... pour me rapprocher certes de la plage, mais aussi... du marchand de glaces.
La digue est jolie, et nous disposons des services nombreux sur place, ainsi que des sites touristiques à voir et revoir, qui font l'attrait de la région. J'évoque ici le Cap Blanc Nez et Gris Nez, d'ailleurs, il va falloir que j'essaie d'y retourner... mais aussi Bleriot, Sangatte, Marquise et la rive permettant de longer la côte au travers une splendeur naturelle qui peut se transformer aux grès des lumières et du vent.
Lorsque mes enfants étaient plus jeunes, nous venions au moins une fois par mois, sur la côte. Ainsi, ils mettaient en place un concours de châteaux de sable, de courses dans l'eau, ou d'essaies de cerf-volant...
J'aime observer les différentes lueurs que toute nature propose au long d'une journée. J'aime écouter les bruits des vagues, des mouettes, des enfants.
Sur cette plage, la vie se montre sous toutes ses formes et sous tous ses critères sociaux. Il y a des gens qui passent et repassent, certains arrivent, d'autres s'en vont...
Les bateaux se détachent sur le fond bleu de cette station, et comme aujourd'hui, au loin, on peut entrapercevoir la côte anglaise. Il me reste alors une pensée sur ces pas tant souhaités à passer vers cette côte opposée...